Le problème du pouvoir politique dans les sociétés primitives. S’appuyant sur les sociétés indiennes d’Amérique du Sud, l’auteur démontre les mécanismes qui règlent leur fonctionnement.
Cet ouvrage, paru pour la première fois en 1977, propose une réflexion tout à fait originale sur un sujet encore assez peu étudié à l’époque, les mécanismes de la violence guerrière dans les sociétés primitives.
« De même que tout langage reflète la société qui le produit, le jargon a reflété le "monde de l’argot". Le jargon n’étant que le masque derrière lequel avancent et opèrent ceux qui, par ailleurs, s’étaient donné le nom d’"affranchis".
« Le royaume fermé de l’argot, c’est-à-dire un langage clos et le champ social où il est parlé, a inspiré, inspire encore, bien des écrivains. Il est un défit aux linguistes qui y déploient leurs talents.
« L’Essence du jargon montrera, à travers l’esprit même des classes dangereuses, comment et pourquoi ce langage spécial se distingue de tous les autres ; pourquoi justement, à partir d’une première découverte, comme celle que j’ai fait apparaître dans Les Princes
Biométrie, logiciels espions, vidéosurveillance, RFID, GPS… Arc-boutés sur les technologies de pointe et forts de l’argument « anti-terroriste », pouvoirs publics et industriels développent des modes de contrôle social de plus en plus sophistiqués.
Fruit d'une réflexion et d'une analyse informées par deux parcours parallèles et complémentaires en Études Asiatiques et Études Cinématographiques, cette monographie traite de la représentation filmique de la jeunesse dans le monde chinois.
La peur est un outil politique fondamental pour les classes dominantes. Transformée en marchandise, elle constitue le secteur d’activité d’idéologues organisés pour vendre ces produits aux gouvernements et aux complexes industriels.
Si, depuis le début des années 2000, après des années d’occultation, la figure de Fanon fait retour dans les champs académique et militant francophones, c’est avant tout pour célébrer « l’homme d’action », le révolutionnaire, au détriment de « l’homme de pensée », du